
« (...) sa mort m'a semblé quelque chose d’incroyable, un fait, je ne saurais dire, auquel on ne peut jamais s'habituer. Le temps passe et, parfois, on rêve du compagnon qui est mort, et on le voit vivant, on discute avec lui et, de nouveau, la réalité nous réveille...
Auteur : Granma | internet@granma.cu
7 octobre 2025 23:10:47
Photo : ALBERTO KORDA
« (...) sa mort m'a semblé quelque chose d’incroyable, un fait, je ne saurais dire, auquel on ne peut jamais s'habituer. Le temps passe et, parfois, on rêve du compagnon qui est mort, et on le voit vivant, on discute avec lui et, de nouveau, la réalité nous réveille...Il y a des personnes qui, pour nous, ne sont pas mortes ; elles ont une présence si forte, si puissante, si intense qu'il est impossible de concevoir leur mort, leur disparition. Principalement en raison de leur présence continue dans les sentiments et dans les souvenirs. Nous, pas seulement moi, mais aussi le peuple cubain, avons souffert de manière extraordinaire à l'annonce de sa mort (...) »
(Fidel à Ignacio Ramonet, au cours de l’entretien pour le livre Fidel Castro : biographie à deux voix)
source : https://fr.granma.cu/cuba/2025-10-08/lorsque-lon-vit-a-jamais
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