Le 1er mars, sur les places de Cuba, comme dans le monde entier, un appel unanime pour la Palestine
Auteur: Redacción Internacional | internacionales@granma.cu
29 février 2024 11:02:07
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Photo: Jorge
« Dépossédés de leur terre, expulsés de leur propre patrie, dispersés dans le monde entier, persécutés et assassinés, les héroïques Palestiniens sont un exemple impressionnant d'abnégation et de patriotisme, et sont le symbole vivant du plus grand crime de notre temps. »
Il y aura 45 ans que Fidel a prononcé ces paroles lors de la 6e Conférence au sommet du mouvement des pays non-alignés, en septembre 1979 à La Havane.
Cuba, fidèle à son histoire et à ses principes, jamais ne pourrait regarder avec indifférence un crime aussi atroce que celui qui se répète aujourd'hui dans la bande de Gaza, en toute impunité, sous les yeux du monde entier.
Les vrais peuples souffrent de la douleur d’autres peuples, et c'est ce sentiment qui inspire l'appel mondial aux justes de ce monde à descendre dans les rues ce samedi 2 mars, pour élever leur voix en défense des Palestiniens déplacés vers un recoin de leur propre terre.
Là, à Rafah, sur à peine 42 kilomètres carrés, un million et demi de Palestiniens semblent condamnés à une mort massive, à la suite des menaces du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou d'ordonner une offensive contre ce que l’on pourrait considérer aujourd’hui comme un camp de concentration.
Comme sur tous les continents au même moment, les étudiants, les jeunes, les femmes, les ouvriers, toute la société cubaine, unie, élèvera sa voix ce jour-là, sur les places de toutes les provinces, comme à La Havane, à la tribune anti-impérialiste José Marti, pour exiger qu'il n'y ait pas une bombe de plus, que le massacre dans la bande de Gaza s'arrête immédiatement.
Le rendez-vous a pour but de dénoncer cette nouvelle offensive qui exterminerait tout un peuple, a souligné Osmayda Hernandez Beleño, membre du Secrétariat de la Fédération des femmes cubaines, tandis que Reudenys Salas Hartemant, membre du Bureau national de l'Union des jeunes communistes, a demandé que le rassemblement ait lieu là où un Marti accusateur nous inspire, et d’où l’on peut interpeller, la tête haute, le plus grand complice et commanditaire de l'agresseur sioniste : le gouvernement des États-Unis.
Pour la Palestine, la force de la solidarité, de l'amour et de la justice est plus puissante que les armes.
source : https://fr.granma.cu/mundo/2024-02-29/un-cri-de-plus-en-plus-fort-pour-la-palestine