Parti communiste de la Fédération de Russie : le fascisme libéral dévoile ses sinistres plans
4/14/22 10:28 AM
Le fascisme libéral révèle ses sinistres projets
Déclaration du Président du Comité Central du PCFR
Le Haut Représentant de l'UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrel, a déclaré que la confrontation entre l'Ukraine et la Russie "doit être gagnée sur le champ de bataille".
J. Borrel est un opposant de longue date à la Russie. En mai 2019, il avait déjà qualifié notre pays de "vieil ennemi". Mais sa déclaration actuelle est d'une nouvelle nature qualitative. Borrel a révélé publiquement les plans des stratèges occidentaux, qui étaient jusqu'à présent étroitement tenus secrets. Il ne s'agit pas d'une guerre entre la Russie et l'Ukraine. C'est la guerre de l'OTAN contre la Russie, où la nation ukrainienne est utilisée comme chair à canon.
Les mots "négociations" ou "règlement politique" ont disparu du vocabulaire des politiciens occidentaux et de leurs vassaux de Kiev. En Occident et à Kiev également, les discours exclusivement militants sont dans l'air. Les fournitures d'armes et les mercenaires inondent l'Ukraine. La guerre de la fausse information est en marche de manière extrêmement agressive.
Dans le même temps, les "démocraties" occidentales n'hésitent pas à recourir aux provocations sanglantes les plus répugnantes. Il a déjà été confirmé que le "massacre de Bucha" était une mise en scène, de même que le tir de missile Tochka-U sur la gare de Kramatorsk, tuant plus de 50 civils, a été effectué par les troupes de Bandera.
Mais comme l'a déclaré le chef de la propagande d'Hitler, Goebbels, "plus le mensonge est terrible, plus les gens sont disposés à le croire". Puisque l'Occident a besoin de justifier les atrocités de ses vassaux, il faut s'attendre à de nouvelles provocations sanglantes.
Les États-Unis et leurs alliés ne se contentent pas d'ignorer le fait que le pouvoir actuel en Ukraine est sous le contrôle de nazis purs et durs. Ils protègent ces fils pourris qui sont les successeurs de criminels fascistes et les auteurs des crimes les plus graves contre le peuple ukrainien. La procédure de vote du 7 décembre 2021 sur la résolution de l'ONU intitulée "Combattre la glorification du nazisme, du néonazisme et d'autres formes de racisme, de discrimination raciale et de xénophobie" en est la confirmation.
Seuls deux pays, en fait, ont soutenu le fascisme en votant contre la résolution : il s'agit des États-Unis et de l'Ukraine. 49 pays se sont abstenus. Parmi ceux qui ont refusé de condamner le nazisme figurent toutes les "démocraties", dont beaucoup ont combattu aux côtés d'Hitler et fournissent actuellement à Bandera des systèmes d'armes ainsi qu'une couverture politique et de propagande.
Il s'agit en particulier de la Grande-Bretagne, de l'Allemagne, de la France, des Pays-Bas, de la Pologne, de l'Australie, de la Belgique, du Canada, de la Croatie, de la République tchèque, du Danemark, de l'Estonie, de la Finlande, du Japon, de la Lettonie, de la Lituanie, de la Norvège, de la Roumanie, de la Slovénie, de l'Espagne, de la Suède et de la Suisse.
Même les membres du Congrès américain parlent avec inquiétude du fait que l'Ukraine est devenue un centre mondial du néonazisme. Mais le vrai pouvoir en Amérique est entre les mains de ceux qui soutiennent les néo-nazis de Bandera. Les États-Unis forcent tous les alliés de l'OTAN à conduire des armes en Ukraine, les obligeant à acheter de nouvelles armes américaines, augmentant ainsi les profits des "vendeurs de mort" aux États-Unis.
L'écran de fumée de la "lutte pour les valeurs universelles" a été abandonné. Josep Borrel a publiquement assimilé l'Union européenne, l'OTAN et les troupes de Bandera. L'Occident ne peut plus cacher sa haine historique de la Russie ainsi que sa volonté de la supprimer, s'appuyant à nouveau sur les forces les plus sinistres face au néonazisme.
Dans ces conditions, la solidarité de toutes les forces progressistes du monde est essentielle. Il est nécessaire de mobiliser toutes les ressources spirituelles, intellectuelles et économiques de la Russie pour repousser le fascisme.
Le pays a besoin d'un nouveau cours basé sur les propositions soumises par le Parti communiste. La politique sociale et économique de l'Etat russe doit subir des changements fondamentaux afin non seulement de supprimer l'emprise des sanctions, mais aussi de s'engager sur la voie de l'indépendance en matière d'importation et de l'industrialisation accélérée, en s'appuyant sur le génie créateur du peuple, sur les énormes ressources naturelles et le potentiel de production de la Russie.
Notre avenir est le socialisme !
G. Zyuganov
Président du Comité central du PCFR
source : http://www.solidnet.org/article/CP-of-the-RUssian-Federation-Liberal-fascism-is-revealing-its-sinister-plans/