Édité par Reynaldo Henquen
2022-03-24 12:24:55
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Par : Roberto Morejón
Deux visions opposées du présent et de l'avenir de Cuba ont de nouveau été mises sur la table lors de deux réunions tenues aux États-Unis.
La première réunion a été la conférence internationale de normalisation entre les États-Unis et Cuba, avec la participation à New York de groupes de solidarité avec la plus grande des Antilles.
Les mouvements en faveur d'une relation sereine et constructive Cuba - États-Unis, visant à renforcer et à rappeler l'importance de la famille, avec des membres dans les deux pays, ont une fois de plus appelé à la fin du blocus.
Les participants, dont des groupes d’amis de Cuba du Canada, d'Afrique du Sud et de Colombie, ont condamné le renforcement par Washington du blocus, lors de l’administration de l'ancien président Donald Trump et poursuivi par son successeur, le démocrate Joseph Biden.
Presque aussitôt la fin de la réunion précédente, une autre tentative de promouvoir la haine envers Cuba a été lancée à Miami.
Ce que les organisateurs ont pompeusement appelé la première réunion d'une commission chargée d'élaborer un plan de transition pour l'archipel des Caraïbes, s'est déroulée en Floride entourée d’un grand renfort de propagande.
Mais oui, la soi-disant Assemblée de la Résistance Cubaine a accueilli une litanie de discours de ceux qui font de l'industrie anti-Castro une affaire lucrative.
De nombreux intervenants ont lancé des hypothèses sur la date de la chute, selon eux, ce qu'ils appellent la dictature cubaine. Cette supposée chute serait suivie d'une prétendue transition, dont le programme est en cours de préparation à Miami par les opposants au système.
On sait ce que l'on peut attendre des partisans de cette bouffonnerie, parmi lesquels Orlando Gutiérrez Boronat, qui a publiquement prôné une invasion armée de Cuba.
Dans la continuité de sa politique de subversion contre cette nation des Caraïbes, l'USAID, l'Agence Américaine pour le Développement International, a financé les plans de Gutiérrez Boronat de renversement du système à Cuba.
Le bénéficiaire de cette subvention nourrit toutes les excentricités possibles, contrairement à des secteurs croissants de Cubano-Américains, qui souhaitent mettre fin au siège de Washington, qui entravent des échanges familiaux normaux.
source : https://www.radiohc.cu/fr/especiales/comentarios/290086-certains-contre-le-blocus-de-cuba-dautres-pour-la-subversion