Au Venezuela, l’échec et le discrédit chaque jour plus évidents du « président autoproclamé Juan Guaido » renvoient la politique de Donald Trump dans une impasse et ridiculisent les chefs d’Etat qui l’ont suivi aveuglément dans cette fiction. Autre inquiétude : des élections législatives doivent avoir lieu le 6 décembre, auxquelles une partie non négligeable de l’opposition a annoncé qu’elle participerait.
Par chance pour Washington, la droite extrémiste et les putschistes vénézuéliens, le rapport « accablant » d’une « Mission internationale indépendante » mandatée par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a fait entrer le pays, le 16 septembre, « dans le club des pires dictatures latino-américaines » (d’après les médias). Directement mis en cause pour avoir « ordonné » ou «
Dessous d’un « Rapport » qui fait grand bruit, mais qui, hélas, en les instrumentalisant grossièrement, discrédite la légitime et indispensable défense des « droits humains ».
A lire sur le site de Mémoire des Luttes :