
Le Venezuela exige le respect de la souveraineté des peuples.
Caracas, 16 novembre (Prensa Latina) La première vice-présidente de l'Assemblée nationale constituante du Venezuela, Tania Díaz, a souligné aujourd'hui la nécessité d'exiger le respect de la souveraineté et la démocratie des peuples.
Au cours de la marche qui a lieu ce samedi en rejetant les actions déstabilisatrices de l'extrême droite vénézuélienne et aussi contre le coup d'Etat qui a eu lieu en Bolivie, Diaz a exprimé l'importance d'exprimer depuis le Venezuela la volonté de vivre en liberté.
Face au coup d'Etat contre le président bolivien légitime Evo Morales, notre message est un message de paix, de force et de patriotisme, a également exprimé la membre de la direction nationale du Parti Socialiste Uni du Venezuela (PSUV).
Elle a ratifié en ce sens l'attachement des Vénézuéliens à la défense du pays et a réitéré son soutien à Morales, qui a démissionné le dimanche précédent pour éviter l'aggravation de la violence contre le peuple bolivien par les secteurs de l'extrême droite.
Dans le contexte de la marche dans les rues de Caracas, la député du Bloque de la Patria pour le PSUV a également souligné que le travail entrepris par la Table ronde nationale de dialogue, composée de secteurs de l'opposition vénézuélienne et du gouvernement national, permettra de résoudre clairement les différends politiques.
Maintenant, il y a plus de secteurs de l'opposition et nous espérons qu'une alternative émergera pour que le Venezuela avance", a déclaré Díaz.
La parlementaire a réitéré qu'une situation similaire à celle de la Bolivie ne se produira pas dans la nation bolivarienne, car il y a une diligence révolutionnaire et une opposition nationaliste qui croit en la proposition de dialogue pour la paix.
Dans le cadre des résultats obtenus lors des conversations entre l'exécutif vénézuélien et les secteurs de l'opposition, la commission des nominations pour la conformation d'un nouveau Conseil électoral national a été créée cette semaine.
De divers points de cette capitale jusqu'au Palais Miraflores (siège du gouvernement), les forces révolutionnaires vénézuéliennes se mobilisent comme le point culminant d'une semaine entière d'activités pour rejeter les putschistes de l'extrême droite.
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