Lors de l'examen du projet de loi autorisant la ratification du Ceta, les députés PCF sont intervenus. Alain BRUNEEL fustige une "stratégie du perdant-perdant" et s'inquiète des conséquences du CETA sur l'emploi puisque "45000 emplois sont menacés de disparition en France et 30000 au Canada".
Jean-Paul LECOQ s'insurge contre les mesures du CETA qui portent inexorablement atteinte à la souveraineté: "attaquer les États pour avoir fait des lois: oui, c’est possible. Et voici que le piège du néolibéralisme se referme sur la démocratie!"
source : lettre electronique PCF Monde