Selon les évidences qui s'accumulent jour après jour, tout semble indiquer que l'attaque chimique que le gouvernement syrien aurait lancée dans la localité de Douma, est aussi fictive que que les fameuses armes d'extermination massive qui ont servi de prétexte au président Georges Bush fils, pour commencer la dite « seconde guerre du Golfe » qui a détruit l'Irak.
Tout comme l'a fait Bush fils, l'actuel hôte de la Maison-Blanche, Donald Trump s'est servi d'un mensonge grossier pour justifier un bombardement atroce contre plusieurs objectifs en Syrie auquel ont participé avec enthousiasme la Grande Bretagne et la France.
Les Français et les Britanniques, dont les gouvernants ont suivi aveuglement le président Trump, sont de plus en plus consternés car ils se rendent compte progressivement du fait qu'ils ont été des marionnettes dans une farce montée de toutes pièces pour tromper le monde.
Le quotidien mexicain « La Jornada » a reproduit un article du journaliste Robert Fisk que personne ne peut qualifier de favorable au gouvernement de Bashar Al-Assad, publié dans The Independent et dans lequel la lumière est faite sur de nombreuses questions.
Robert Fisk raconte qu'au cours d'une visite qu'il a effectuée à la ville syrienne de Douma après la présumée attaque chimique, il a réussi à converser avec plusieurs personnes mais qu'il n'en n'a pas trouvé une seule pouvant confirmer que les faits rapportés ont eu lieu mais il a trouvé la raison qui aurait pu parfaitement servir pour réaliser le montage utilisé après par Washington pour intoxiquer l'opinion publique.
Il arrive, raconte Fisk, que les gens à Douma, écrasée par les bombardements de part et d'autre, vivent dans des tunnels profonds, pleins d'ordures et d'autres saletés et que le jour de la présumée attaque une tempête de sable qui a affecté de nombreuses personnes a éclaté.
Ces personnes se sont rendues dans un hôpital situé à proximité avec des symptômes d'asphyxie, mais pas à cause d'un quelconque agent chimique, mais de l'air contaminé qu'elles avaient respiré, mais là un casque blanc a crié qu'il y avait eu une attaque au gaz et la panique a éclaté.
Les personnes ont commencé à se jeter de l'eau les unes sur les autres pendant que les casques blancs filmaient le chaos et l'ont ensuite publié.
C'est-à-dire que les images qui ont fait le tour du monde ne sont pas fausses, mais elles ne montrent pas des personnes victimes d'une quelconque attaque chimique. Il s'est agi d'un montage parfait utilisé par les puissances occidentales de façon très malintentionnée.
Qui plus est, un enfant que l'on voit dans le film vidéo identifié comme étant Hassan Diab, a avoué avoir reçu de la nourriture et des dattes pour qu'il se prête à la mascarade.
Le journaliste cite comme source un médecin syrien appelé Assim Rahaibani, qui lui a confirmé qu'aucune personne n'a été traitée pour intoxication par gaz.L'agence de presse britannique Reuters a fait savoir aussi, quant à elle, que deux journalistes de la chaîne étasunienne de télévision « One America News Network » ont visité Douma et qu'ils n'y ont trouvé aucune trace d'utilisation d'armes chimiques.
Cela expliquerait aussi le fait que des groupes armées ont ouvert le feu sur des experts qui ont essayé de se rendre sur les lieux pour enquêter.
Il y a certainement, beaucoup d'intérêts qui se cachent derrière les tentatives d'empêcher que toute la lumière soit faite sur cette affaire ce qui fait que nous nous souvenions de la phrase qui dit que dans une guerre, la première victime est toujours la vérité.
Edité par Reynaldo Henquen
source: http://www.radiohc.cu/fr/especiales/comentarios/160406-de-nouveaux-doutes-sur-la-pretendue-attaque-chimique-en-syrie