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La Havane, 25 mars (PL) L'exclusion des 45 noms de personnes et institutions de la liste de "Ressortissants spécialement désigné", effectuée par le Département du Trésor des États-Unis, a été qualifié d'un fait de routine et qui n'a pas aucun rapport avec les récentes modifications de la politique de Washington envers La Havane.
Un article rendu public aujourd'hui par Granma (le quotidien officiel du Parti communiste de Cuba) indique que la décision du Département du Trésor des États-Unis a été abordé avec une "exagérée fanfare" par les moyens de presse internationale.
D'après le communiqué diffusé hier à Washington, le Département du Trésor a décidé d'exclure de cette liste 45 entités soient cubaines, soient étrangères ayant des relations commerciales avec Cuba, dont 28 entreprises, 11 embarcations et six personnes, la plupart associées avec l'industrie du tourisme.
Le blocus imposé contre l'Île reste tel quel, il touche plus de onze millions d'habitants et des nombreuses entreprises e institutions cubaines, dit l'article publié par Granma.
À titre d'exemple du vigueur du blocus on peut citer une amende imposée le 12 mars contre la banque allemande Commerzbank, dont le montant est de 1 710 millions de dollars. Il est question de la deuxième amende la plus grande imposée par les États-Unis en raison des violations des restrictions contre Cuba, l'Iran, le Soudan et le Myanmar.
Bref, l'exclusion des ces entités et personnes de la liste noire du Département du Trésor n'est qu'un fait routinière lequel es effectué habituellement pour éliminer de la liste des institutions qui ont déjà disparues ou des personnes décédées. Les moyens de communiquer ayant abordé cette nouvelle n'ont pas vérifié si ces entités existent ou non, ou si les personnes mentionnées sont vivantes.
"Ceux qui ont cru qu'on assiste à une modification substantielle des restrictions imposées contre Cuba, il doivent lire attentivement les déclarations d'une fonctionnaire inconnue du Département du Trésor".
Cette personne a confié à l'agence de presse AP que l'enlèvement est dû à une consultation interne des anciennes directrices réglant les relations Cuba-États-Unis et il n'a rien à avoir avec les récentes modifications annoncées par M. Obama.
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source:http://frances.prensa-latina.cu/index.php?option=com_content&view=article&id=61001:le-blocus-contre-cuba-reste-tel-quel&opcion=pl-ver-noticia&catid=2&Itemid=203