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Kiev, 1 oct (PL) La mort aujourd'hui de 10 personnes à Donetsk en raison de tiers d'artillerie et les vexations commises par des groupes néo-fascistes à Kiev contre ceux qui pensent différemment, voire des législateurs, monstre la crise régnant dans le pays.
Dans la République populaire de Donetsk (RPD) le ministre de l'Éducation, Igor Kostenok, a informé sur le bombardement d'un centre scolaire à 10:00 heures locales par tirs à la roquette d'armes lourdes ayant causé deux morts et trois blessés, tous eux adultes.
D'autre part, la télévision a montré les effets d'une détonation dans un arrêt d'autobus où huit personnes sont mortes et un autobus a été incinéré complètement. En même temps ont exhibait des images sur des combats qui se tenaient à l'aéroport de Donetsk et ses alentours.
En revanche, les services de presse de l'opération de punition menée par Kiev contre la population du Donbass, de son côté, commentent sur Facebook que la nuit dans l'aéroport s'est passée en calme.
L'État-majeur de la RPD indique que la situation dans toute le territoire du Donbass contue d'être tendue car pendant la nuit trois attaques de l'Armée ukrainienne contre les quartiers de Spartak y Kirovskoye ont eu lieu.
La télévision a montré aussi des images portant sur la quête menée par des miliciens dans des fosses communes en collaboration avec des organes d’instruction de Donetsk et l'Organisation pour la sûreté et la coopération en Europe (OSCE). On enregistre déjà 400 cadavres dont 350 son civils.
Parallèlement, à Kiev et dans d'autres villes du pays l'agressivité des groupes néo-fascistes s’identifiant avec les mêmes symboles portés par les troupes allemandes et ses collaborateurs lors de la Grande Guerre patriotique (1941-1945).
Des chaînes de télévision russes et ukrainiens on montré comment ces groupes harcelaient des députés et les lançaient dans conteneurs à déchets afin de les empêcher d'exprimer leurs propositions auprès des moyens de communiquer vis-à-vis les élections parlementaires qui auront lieu fin octobre.
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