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Avec « Evo » ou sans « Evo » ?
Réélu lors du scrutin présidentiel du 20 octobre 2019, Evo Morales, indument accusé de fraude, a été renversé par un coup d’Etat. Toutefois, après onze mois de troubles et de répression du régime de facto, son ex-ministre Luis Arce a remporté la présidentielle du 18 octobre 2020 avec plus de 55 % des voix. A l’issue des législatives, le Mouvement vers le socialisme (MAS) retrouvait pour sa part la majorité absolue dans les deux chambres du Parlement.
Après un retour triomphal d’Argentine, où il s’était réfugié, « Evo », comme l’appellent ses partisans, a été unanimement élu à la tête du MAS. Néanmoins, une petite musique demeure dans certains milieux : si la droite et l’extrême-droite ont un temps mis la Bolivie cul par dessus tête, c’est parce qu’Evo Morales, « assoiffé de pouvoir », est devenu un « caudillo »… Ne risque-t-il pas de faire de l’ombre au nouveau chef de l’Etat ?
Lire sur le site de mémoire des Luttes :
https://www.medelu.org/Avec-Evo-ou-sans-Evo
Egalement sur le site :
ETATS-UNIS
« Le grand air de la fraude ou les arroseurs arrosés »
VENEZUELA
« J’aspire à la réconciliation des Vénézuéliens »
Entretien de Nicolas Maduro avec Ignacio Ramonet