
Cuba est un exemple de respect et de consolidation des droits de l'homme
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La Havane, le 10 décembre (CHR) Le 10 décembre, la communauté internationale célèbre la Journée des droits de l'homme. Aujourd'hui, notre planète est confrontée à de grands défis à cet égard, tels que l'accroissement des inégalités et de la pauvreté dû à l'ordre international injuste ; l'augmentation des effets du changement climatique, qui menace la vie des générations présentes et futures ; la prolifération de la haine, de la xénophobie et de l'intolérance contre les minorités ; la politisation, la sélectivité et la manipulation dans le traitement des droits humains.
Dans ce scénario complexe, Cuba a réaffirmé à maintes reprises son engagement indéfectible en faveur de la promotion et de la protection de tous les droits de l'homme pour tous, avec son caractère interdépendant et indivisible, commente le journal Granma.
A cette fin, elle fait des progrès souverains dans le processus de renforcement de son cadre juridique et institutionnel, dans le cadre de la mise à jour du modèle de développement économique et social, et à la suite de la proclamation de la Constitution de la République. L'article 41 de la Constitution dispose : "L'État cubain reconnaît et garantit la jouissance et l'exercice inaliénables, imprescriptibles, indivisibles, universels et interdépendants des droits de l'homme, conformément aux principes de progressivité, d'égalité et de non-discrimination.
Alors que d'autres acteurs internationaux promeuvent les guerres de prédateurs, les coups d'État et le traitement politisé et sélectif des droits de l'homme contre les gouvernements qui ne se plient pas à leurs intérêts hégémoniques, notre pays a ratifié 44 des 61 instruments internationaux dans ce domaine - ce qui représente 72,13% du total - et le place parmi le groupe des États membres des Nations Unies les plus nombreux à avoir ratifié ce type, selon le Rapport national de la Colombie.
Cuba à l'Examen périodique universel de 2018 du Conseil des droits de l'homme.
Face au blocus imposé par le Gouvernement des États-Unis, qui viole les droits de l'homme de tout un peuple, Cuba continuera d'offrir sa coopération solidaire au niveau international et de s'investir dans la construction d'une société toujours plus juste, libre, démocratique, solidaire, prospère et durable, guidée par l'idéal de José Martí : "Je veux que la première loi de notre République soit le culte des Cubains à la pleine dignité de l'homme", et aussi par la phrase de Fidel du 21 janvier 1959 : "La Révolution cubaine peut être synthétisée comme une aspiration à la justice sociale dans la liberté la plus totale et le respect le plus absolu des droits humains".
(Granma)
sous la direction de Julio Pérez