Les fake news sur le Venezuela n'ont pas réussi à convaincre la communauté internationale

Caracas, 19 février AVN

Les Etats-Unis et leurs alliés, les anciennes forces colonialistes de l'Europe, utilisent la thèse de la crise humanitaire contre le Venezuela parce qu'ils n'ont pas réussi à convaincre avec d'autres fake news, explique Saúl Ortega, vice-président des relations internationales de l'Assemblée nationale constituante (ANC).

L'électeur a déclaré que les forces impériales ont utilisé quatre hypothèses dans leur tentative d'imposer l'hégémonie des États-Unis sur le monde : le terrorisme, le trafic de drogue, les armes de destruction massive et la crise humanitaire.

"Au Venezuela, ils ont utilisé les quatre dossiers, et ils les ont construits, seulement qu'ils ont utilisé la crise humanitaire parce qu'elle leur permet d'invoquer d'autres alliés du groupe qui accompagne l'impérialisme dans cette lutte pour l'hégémonie," a dit Ortega.

Il a ajouté qu'ils ont essayé de vendre des faux positifs comme le trafic de drogue, mais qu'ils n'ont pas fini de convaincre la communauté internationale.

Il a rappelé que les crises humanitaires qui se sont produites dans le monde sont causées par les guerres, le pillage et l'exploitation des pays riches au détriment des pays les plus faibles et par les catastrophes naturelles, soulignant qu'aucune de ces situations ne s'est produite au Venezuela.

L'électeur a indiqué qu'il n'y avait aucune preuve de violations des droits de l'homme dans le pays et a précisé que le Gouvernement révolutionnaire étendait le concept des droits de l'homme au logement, à l'alimentation, à la santé et à l'éducation.

"Nous sommes un pays qui a marché, ils n'arrêtent pas l'attention du gouvernement bolivarien sur sa population, c'est un pays où le peuple compte sur les institutions gouvernementales pour lui apporter son soutien, a-t-il dit.

D'autre part, il a décrit comme une grande victoire pour le pays que les États-Unis ont porté le cas du Venezuela devant le Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU), parce qu'elle a permis que les agressions auxquelles la nation a été soumise soient présentées au monde.

"Ce débat nous a permis de différencier clairement les positions en jeu et d'exposer le problème central d'aujourd'hui, qui n'est pas le Venezuela. Le problème est une nouvelle doctrine selon laquelle ils avancent dans la lutte pour l'hégémonie et qui menace la paix mondiale ", a-t-il dit.

Photo : @VTVcanal8

source: http://www.avn.info.ve/contenido/falsos-positivos-sobre-venezuela-no-han-podido-convencer-comunidad-internacional