
Quito, 4 juillet (RHC) L'ancien président de l'Équateur, Rafael Correa, qui fait actuellement l'objet d'un mandat d'arrêt international, a insisté sur un complot contre lui et s'est dit confiant que son extradition ne réussira pas.
Par le biais du réseau social Twitter, Correa a classé comme une aberration politique l'ordre de détention préventive ordonné contre lui par la Cour nationale de justice, en relation avec son implication dans l'enlèvement présumé de l'ancien législateur Fernando Balda, en 2012.
Dans une vidéo diffusée sur le réseau social, Correa a averti que l'Equateur a connu la pire persécution politique de l'histoire du pays au cours de l'année dernière, accompagnée de lynchages médiatiques et de campagnes de désinformation menées par des groupes de la bureaucratie habituelle du parti.
Dans son discours, il a rappelé qu'ils avaient déjà essayé, sans succès, de le blâmer pour les mauvaises négociations et les préventes de pétrole, le crime organisé, le trafic d'influence, le surendettement, entre autres.
Il a également précisé que, comme dans le cas de l'ancien vice-président Jorge Glas, qui a été emprisonné pour conspiration, ils ne seront jamais en mesure de démontrer la corruption ou de trouver un sou qui a été mal dépensé.
Quant à l'affaire Balda, pour laquelle il est accusé, il a affirmé qu'il s'agit d'un procès avec un procureur à charge, ce qui n'est pas prévu par la loi, et qu'il y a eu un changement dans les membres du Conseil judiciaire, maintenant composé d'ennemis ouverts à la révolution citoyenne, le tout dans le seul but de le mettre derrière les barreaux.
Quito, 4 juillet (RHC) L'ancien président de l'Équateur, Rafael Correa, qui fait actuellement l'objet d'un mandat d'arrêt international, a insisté sur un complot contre lui et s'est dit confiant que son extradition ne réussira pas.
Par le biais du réseau social Twitter, Correa a classé comme une aberrancy politique l'ordre de détention préventive qu'il a ordonné contre lui par la Cour nationale de justice, en relation avec son implication dans l'enlèvement présumé de l'ancien législateur Fernando Balda, en 2012.
Dans une vidéo diffusée sur le réseau social, Correa a averti que l'Equateur a connu la pire persécution politique de l'histoire du pays au cours de l'année dernière, accompagnée de lynchages médiatiques et de campagnes de désinformation menées par des groupes de la bureaucratie habituelle dun parti.
Dans son discours, il a rappelé qu'ils avaient déjà essayé, sans succès, de le blâmer pour les mauvaises négociations et les préventes de pétrole, le crime organisé, le trafic d'influence, le surendettement, entre autres.
Il a également précisé que, comme dans le cas de l'ancien vice-président Jorge Glas, qui a été emprisonné pour conspiration, ils ne seront jamais en mesure de démontrer la corruption ou de trouver un sou qui a été mal dépensé.
Quant à l'affaire Balda, pour laquelle il est accusé, il a affirmé qu'il s'agit d'un procès avec un procureur en charge, " menotté ", ce qui n'est pas prévu par la loi, et qu'il y a eu un changement dans les membres du Conseil judiciaire, maintenant composé d'ennemis ouverts de la révolution citoyenne, le tout dans le seul but de le mettre derrière les barreaux.
Il a également parlé de l'alerte rouge pour son arrestation et son extradition par Interpol et de la détention préventive imposée lors d'une audience demandée par sa défense pour revoir la mesure de précaution qui lui avait été initialement appliquée pour se rendre de la Belgique, où il réside, à Quito, tous les 15 jours, afin de comparaître devant la Cour nationale de justice, ce qu'il a qualifié d'impossible.
La détention provisoire est une peine précoce et dans cette situation, il n'y a aucune raison de l'être ", a-t-il dit.
À son avis, le plan est de lui faire perdre sa liberté, mais il a estimé que l'extradition ne sera pas possible, ni l'emprisonnement, parce qu'un pays comme la Belgique, où il y a une véritable règle de droit, ne le permettra jamais.
Enfin, il a dit qu'en Equateur tout est perdu et que sa situation ne sera pas résolue légalement, mais par des moyens politiques, lorsque le pouvoir reviendra aux grandes majorités et il a appelé le peuple à se mobiliser (Fu7ente:PL).
source: http://www.radiohc.cu/noticias/internacionales/166095-expresidente-ecuatoriano-rafael-correa-denuncia-complot-y-expresa-confianza-en-no-ser-extraditado-(+video)