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Photo: Estudio Revolución

LA signification extraordinaire pour Cuba et pour le monde de la vie et de l’œuvre du Commandant en chef Fidel Castro a été soulignée par de nombreux chefs d’État et hommes politiques étrangers invités au meeting géant organisé le 29 novembre en hommage au leader historique de la Révolution cubaine sur la Place de la Révolution José Marti de La Havane.

La population havanaise s’est retrouvée en rangs serrés autour du général d’armée Raul Castro Ruz pour rendre hommage à la mémoire d’un leader mondial incontestable.

CONSTRUIRE UN MONDE DE JUSTICE ET DE PAIX : NOUS CONTINUERONS DE LUTTER POUR CES IDÉES

Le président équatorien Rafael Correa Delgado a déclaré : « Peuples de Notre Amérique et du monde : Fidel est mort. Il est mort invaincu. Seule la marche inexorable du temps a pu l’arrêter. Il est mort le même jour où, il y a 60 ans, accompagné de 82 patriotes, il partit du Mexique pour faire l’Histoire. Il est mort en faisant honneur à son prénom. Fidel, digne de foi. La foi que son peuple a placée en lui et toute l’Amérique latine, notre Grande Patrie, qui n’a jamais été déçue et encore moins trahie », a-t-il signalé en prenant la parole lors de l’hommage rendu ce mardi au leader historique de la Révolution cubaine à La Havane.

Après avoir insisté sur l’importance de l’unité des peuples de Notre Amérique, Correa a affirmé qu’avec Fidel, « avec Camilo Cienfuegos, avec le Che et avec Hugo Chavez nous avons appris à croire en l’Homme nouveau latino-américain, capable de livrer, avec organisation et conscience, la lutte permanente des idées libératrices pour construire un monde de justice et de paix ».

« Nous continuerons de lutter pour ces idées. Nous en faisons le serment ! ». « Hasta la victoria siempre ! », a conclu le président.

CUBA A CHANGÉ L’HISTOIRE DE L’AFRIQUE

Le président de la République d’Afrique du Sud, Jacob Zuma, a signalé que le décès du camarade Fidel « est une perte douloureuse pour le peuple sud-africain. Il a été à nos côtés en nous apportant sa solidarité et il a soutenu notre lutte, y compris la campagne internationale visant à isoler le régime de l’apartheid. Nous savions que nous avions en Cuba un ami et un allié des opprimés », a-t-il dit.

« La relation spéciale, profonde et impérissable entre Cuba et l’Afrique du Sud a été cimentée par le sang des héroïques soldats cubains qui ont consenti le sacrifice suprême de leurs vies pour leur conviction dans l’anti-impérialisme, la liberté et la justice.

« Pendant trente ans, Cuba a déployé près d’un demi-million de soldats et officiers en Afrique pour soutenir les lutte pour l’indépendance nationale ou contre l’agression étrangère.

« En Afrique, Cuba ne cherchait ni or, ni diamants, ni pétrole. Les Cubains ne voulaient que la liberté, ils voulaient aussi que l’Afrique ne soit plus traitée comme un terrain de jeu par les nations puissantes alors que les peuples souffraient ».

CUBA PLEURE LA PERTE D’UN GRAND LEADER, LA PERTE D’UN ENSEIGNANT ET D’UN PÈRE

Roosevelt Skerrit, Premier ministre de la Dominique, qui occupe la présidence tournante de la Communauté des États de la Caraïbe (Caricom), a qualifié Fidel de véritable ami. « Il a tendu la main aux pays récemment indépendants d’Amérique latine et de la Caraïbe, qu’il a aidés dans des sphères où Cuba avait une certaine force, notamment dans la formation de médecins et d’autres professionnels de la santé et l’octroi de bourses pour l’étude d’autres disciplines.

« La Caricom vous sera éternellement reconnaissante, à vous et au peuple cubain, pour les grands sacrifices que vous avez consentis au milieu des gigantesques adversités, car vous avez assuré pendant des décennies la formation de nos professionnels sur les plans bilatéral et multilatéral.

« Aujourd’hui, Cuba pleure la perte d’un grand leader, la perte d’un enseignant et d’un père. Nous partageons cette douleur et ce vide avec vous, car nous avons nous aussi perdu un ami loyal et précieux. Son souvenir reste vivant dans à tout jamais dans notre mission au service de notre peuple et de construire un monde où règne la justice, l’impartialité et la paix », a-t-il conclu.

FIDEL ET SES IDÉES VIVENT DANS LES CŒURS DE MILLIONS D’ÊTRE HUMAINS

Salvador Sanchez Ceren, président du Salvador, a affirmé quant à lui que Fidel a nourri une affection et un respect spécial pour le peuple salvadorien. « Comme des millions de jeunes Salvadorien, j’ai découvert Fidel à travers Radio Rebelde. « L’écouter nous a permis d’éveiller notre conscience politique et la décision de changer la triste réalité de notre peuple, victime d’une cruelle dictature militaire. Je me souviens de notre sentiment solidaire et de soutien à la lutte dans la Sierra Maestra, et ensuite de la Révolution triomphante, une œuvre humaine qui suscita l’admiration pour sa résistance et sa dignité face à l’agression étasunienne, a signalé le président salvadorien.

Plus loin, il a affirmé que l’hommage « du peuple cubain, du monde entier, cet affection immense nous prouve que Fidel et ses idées sont toujours très vivantes dans les cœurs de millions d’être humains qui, comme nous, suivent son exemple de combattant inlassable en faveur de l’humanité ».

NOUS FAISONS NOS ADIEUX À UN SYMBOLE INTERNATIONAL DE LA LUTTE ET DE LA RÉSISTANCE

Pour sa part, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a assuré qu’ici, sur la Place de la Révolution, « comme il convient à ce grand révolutionnaire du 20e siècle, nous faisons nos adieux au Commandant Fidel. Nous faisons nos adieux à un symbole international de la lutte et de la résistance, à celui dont l’exemple a inspiré les luttes des peuples du monde entier pour l’indépendance, la liberté, la justice et la dignité ».

« Nous faisons nos adieux au Fidel des pauvres, des humbles, des opprimés et de ceux qui n’abdiquent jamais, votre Fidel, notre Fidel, au Fidel qui appartient à tous les coins de la planète, au Fidel qui appartient à l’Histoire.

« C’est un grand honneur pour moi de pouvoir partager ce moment historique au nom du peuple grec, un peuple qui vit dans un recoin de la planète, très loin de vous, mais très proche des valeurs et des idéaux pour lesquels pour avez lutté et pour lesquels vous luttez toujours ».

IL VIVRA TOUJOURS DANS NOS CŒURS ET NOTRE MÉMOIRE

Quant à Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation d’Algérie, il a exprimé au nom du président Abdelaziz Bouteflika et au nom du gouvernement et du peuple algériens : « ses plus sincères condoléances au gouvernement et au peuple cubains pour la perte d’un des plus grands hommes qu’ait enfanté cette terre de bonté, l’Île de la liberté, Cuba ».

Dans une autre partie de son intervention, il a affirmé : « Le leader Fidel Castro a vécu comme un géant et il restera après son départ comme une légende et un précieux héritage pour les générations qui s’inspireront de sa pensée pour jeter des bases solides pour la construction d’un monde où prévalent la justice, la dignité et la liberté. Son combat les illuminera et sera une véritable forge de vertus telles que le dévouement, le sacrifice, l’honnêteté, la fidélité et son engagement envers les autres et l’adhésion aux principes quel qu’en soit le prix ».

VOUS PERDEZ UN FILS ILLUSTRE, MAIS LE PEUPLE CHINOIS PERD AUSSI UN COMPAGNON TRÈS CHER ET UN AMI SINCÈRE

Li Yuanchao, vice-président et membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois, a rappelé que le camarade Fidel avait été très attaché à l’amitié entre Cuba et la Chine, « suivant de près et louant le développement de la Chine. Grâce à lui, Cuba a été le premier pays d’Amérique latine à établir des relations diplomatiques avec la République populaire de Chine. 56 ans se sont écoulés depuis et les relations sino-cubaine affichent un dynamisme remarquable, avec des résultats fructueux d’une coopération pratique dans plusieurs sphères ».

Plus loin, il a signalé que « l’amitié entre les deux peuples ne cesse de se consolider, un rapprochement qui est le fruit de l’effort et de la volonté du camarade Fidel. Le peuple chinois se souviendra toujours de lui. Son départ est une énorme perte pour Cuba et pour les peuples latino-américains. « Cuba a perdu un fils illustre, mais le peuple chinois perd aussi un compagnon très cher et un ami sincère ».

IL A DONNÉ SA VIE AUX EFFORTS POUR LA DÉFENSE DES DROITS DES OPPRIMÉS

Majid Ansari, vice-président de la République islamique d’Iran, a signalé à l’hommage posthume rendu au chef de la Révolution cubaine que ce rassemblement géant du peuple, de dirigeants et d’envoyés spéciaux de dizaines de pays et d’organisations du monde entier avait pour but de rendre hommage à l’un des plus grands révolutionnaires du monde actuel : le Commandant en chef Fidel Castro Ruz. Un homme dont le nom est associé dans le monde non seulement comme celui d’un combattant et d’un indépendantiste cubain, mais comme celui d’un penseur révolutionnaire et d’un libérateur pour tous les peuples d’Amérique latine et les opprimés du monde.

« Un homme qui a consacré sa vie aux efforts pour défendre les droits des opprimés et la lutte contre le colonialisme. Son nom, tout comme ceux des grands libérateurs de l’Histoire, restera à jamais gravé dans la mémoire de l’humanité ».

SES IDÉES ET SES RÊVES SONT CHERS À NOMBRE DE PEUPLES, C’EST POURQUOI SA CAUSE TRIOMPHERA

Faisant référence à la signification de la figure de Fidel, Viatcheslav Volodine, président de la nouvelle Douma d’État de Russie, a rappelé que le cubain a consacré sa vie à la lutte pour la liberté et l’indépendance de son pays. « Il a infiniment aimé son pays et son peuple. C’est l’exemple d’un vrai patriote. Ils n’ont pas pu briser sa volonté, pas plus que celle du peuple cubain ». a-t-il indiqué.

Et d’ajouter que Fidel est devenu un symbole de la lutte des Cubains, une lutte couronnée de succès. « Nous sommes dans le devoir de nous rappeler que c’est grâce à lui que Cuba a réussi à préserver le bien le plus précieux de n’importe quel État : son indépendance. Aujourd’hui, ses idées et ses rêves sont chers à nombre de peuples, c’est pourquoi sa cause triomphera », a-t-il dit.

FIDEL VIVRA ÉNTERNELLEMENT DANS LA JUSTE CAUSE DE LA RÉVOLUTION DE L’HÉROÏQUE PEUPLE CUBAIN

Nguyen Thi Kim Ngan, présidente de l’Assemblée national de la République socialiste du Vietnam, a déclaré qu’avec le départ du camarade Fidel, le Parti, l’État et le peuple frère de Cuba ont perdu leur leader historique et légendaire. « Les mouvements communistes et révolutionnaires internationaux ont perdu un dirigeant ferme, audacieux et expérimenté. Le Parti communiste, l’État et le peuple du Vietnam ont perdu un camarade et à un frère combattant très cher ».

Elle a souligné que les Vietnamiens n’oublieront jamais la célèbre phrase prononcée par Fidel : « Pour le Vietnam, nous sommes prêts à verser notre propresang ».

Elle a souligné que le nom, l’œuvre grandiose et la pensée révolutionnaire humaniste du camarade Fidel Castro vivront à jamais dans l’œuvre de la révolution cubaine, celle du Vietnam et dans le cœur des peuples progressistes et épris de paix et de justice dans le monde.

UN GRAND LEADER, UN RÉVOLUTIONNAIRE EXCEPTIONNEL, UN MILITANT FERME

En prenant la parole au nom du Qatar, l’émir père Hamad bin Khalifa al-Thani a signalé : « Nous assistons aujourd’hui aux obsèques d’un grand leader, d’un révolutionnaire exceptionnel, d’un militant ferme, d’un combattant obstiné, d’un symbole de la résistance, dont l’influence s’est étendue sur le monde entier et qui est resté présent dans l’esprit de tous.

« Fidel Castro est un géant de la lutte pour la libération nationale. Il a maintenu une foi inébranlable dans le droit des peuples à l’autodétermination, à une époque où la majorité des peuples du monde vivaient sous le joug du colonialisme. Il a lutté pour les causes en lesquelles il croyait, il a inspiré des millions d’êtres humains opprimés par le colonialisme en plusieurs endroits de la planète. Il a occupé une place de choix parmi les grands hommes des mouvements de libération du 20e siècle ».

Et de conclure : « Son héritage, sa lutte, sa fermeté face aux défis seront toujours une source d’inspiration pour cette génération et les générations futures ».

POUR LES GENS SIMPLES, SON HÉRITAGE SERA UN SYMBOLE D’ESPÉRANCE POUR UNE VIE JUSTE ET HEUREUSE

Viktor Sheiman, l’envoyé spécial de la République de Biélorussie, a souligné que les gens de son pays apprécient hautement l’énorme contribution personnelle de Fidel Castro au développement de relations d’amitié entre nos deux États.

Il a rappelé que « comme l’a signalé Alexandre Loukachenko, président de la République de Biélorussie, le nom lumineux de l’audacieux commandant est écrit en lettres d’or dans l’histoire du processus d’établissement d’une coopération stratégique entre la Biélorussie et Cuba ».

« Je suis persuadé que l’œuvre immortelle du Commandant Fidel poursuivra son cheminement victorieux. Pour les gens simples, son héritage sera un symbole d’espérance pour une vie juste et heureuse. Durant des décennies, la Biélorussie a été un fidèle ami et un partenaire sûr de la République sœur de Cuba, et il continuera d’en être ainsi », a-t-il dit.

« Fidel n’est pas parti. Fidel est resté. L’image limpide de l’invincible Commandant, son héritage historique, resteront à jamais parmi nous », a-t-il conclu.

FIDEL EST PLACÉ AU-DESSUS DE SA PROPRE VIE, IL EST ENTRÉ POUR TOUJOURS DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ

Evo Morales Aymara, le président de l’État plurinational de Bolivie, s’est dit très impressionné par l’unité et la force du peuple cubain. « Il y a quelques heures, j’ai entendu la presse bourgeoise pro-impérialiste dire : “À présent, Cuba s’est retrouvée sans leader”. Et nous voyons ici, le monde entier peut voir ici le peuple cubain plus uni, plus fort que jamais pour continuer de vaincre cette domination impérialiste ».

« Fidel a été un vrai père pour les exclus, pour les marginalisés, pour les discriminés, pour les gens les plus pauvres du monde. Fidel nous a appris que le seul chemin possible pour nos peuples, c’est l’unité et l’intégration. Fidel est le vrai bâtisseur de la paix avec justice sociale.

« J’aimerais vous dire, chers sœurs et chers frères, que Fidel n’est pas mort, parce que les peuples ne meurent pas, et encore moins ceux qui luttent pour leur libération. Fidel est toujours là », a-t-il souligné.

Et d’ajouter plus loin : « Fidel est placé au-dessus de sa propre vie. Il est entré dans l’histoire de l’humanité ».

LES LEÇONS DE FIDEL CONTINUERONT DE NOUS SERVIR DE GUIDE DANS NOTRE LUTTE EN FAVEUR D’UN NOUVEL ORDRE MONDIAL

Hage Gottfried Geingob, président de la République de Namibie, après avoir souligné l’admiration du peuple namibien pour Fidel et l’importance de l’épopée internationaliste cubaine en Afrique, a affirmé : « Fidel a envoyé des milliers de troupes en Angola et en Namibie pour libérer nos pays de l’oppression du régime sud-africain. La bataille de Cuito Cuanavale a marqué un jalon dans l’histoire de l’Afrique australe. Cette bataille en particulier a aussi forcé la mise en pratique de la Résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui a conduit à l’indépendance de la Namibie en 1960 ».

« Il nous reste encore beaucoup à apprendre d’un homme qui a vécu et qui est mort selon ses propres termes », a-t-il ajouté.

Le président namibien a également souligné que les leçons de Fidel « continueront de nous servir de guide dans notre lutte en faveur d’un nouvel ordre mondial. Nous devons rester unis, malgré le colonialisme, rester unis jusqu’à la victoire, toujours ».

FIDEL CASTRO FUT LE BÂTISSEUR DE LA CUBA RÉVOLUTIONNAIRE

Quant au président du Mexique, Enrique Peña Nieto, il a évoqué « la mémoire d’un homme qui a fait l’Histoire ». Et d’ajouter qu’ « un 25 novembre, mais en 1956, 82 hommes courageux quittèrent les berges du rio Tuxpan, sur la côte de Veracruz, à bord du Granma. Ils s’étaient donné pour mission de constituer un nouveau gouvernement qui soit au service du peuple cubain et porté par des idéaux de liberté, de justice et d’égalité. Depuis, la République de Cuba et le peuple cubain ont constitué un exemple de dignité et de persévérance ».

« Il ne fait aucun doute de Fidel Castro fut le bâtisseur de la Cuba révolutionnaire, mais, qui plus est, c’est l’une des figures les plus emblématiques de la seconde moitié du 20e siècle.

« Cuba et le Mexique sont des amis et des voisins. Nos pays sont unis par des liens profonds et inaliénables. Les eaux de la mer des Caraïbes ont uni notre histoire durant des siècles : la langue et la culture que nous partageons nous rappellent toujours que les cœurs des Cubains et des Mexicains battent à l’unisson dans la solidarité et l’amitié », a conclu le président mexicain.

FIDEL EST AUJOURD’HUI PLUS PRÉSENT QUE JAMAIS DANS LE CŒUR DE SON PEUPLE

Daniel Ortega Saavedra, président de la République du Nicaragua, a évoqué le soutien de la Révolution cubaine au peuple nicaraguayen dans les moments difficiles.

« Fidel est aujourd’hui plus présent que jamais dans le cœur de ce peuple, et il est aussi plus présent que jamais dans le cœur des peuples latino-américains et caribéens, dans le cœur des peuples d’Asie et d’Afrique, et dans le cœur d’une bonne partie du peuple des États-Unis, d’une bonne partie des peuples d’Europe que, en ces temps nouveaux, Fidel a su si bien comprendre. C’est avec une sagesse admirable qu’il a su interpréter les changements de ces nouveaux temps, ce qui n’est pas facile, car il y avait une conception, présente dans nos esprits, qui s’est répétée dans notre Amérique au Nicaragua, car après Cuba ce fut au tour du Nicaragua. Et c’étaient aussi Fidel et Raul, et ce peuple qui faisaient leur entrée victorieuse le 19 juillet 1979 à Managua. Ce fut la dernière révolution triomphante du 20e siècle ».

IL NE PART PAS. IL RESTE INVAINCU PARMI NOUS, ACQUITTÉ, TOTALEMENT ACQUITTÉ PAR LA GRANDE HISTOIRE DE LA PATRIE

Lors de son intervention au rassemblement géant, le président Nicolas Maduro, président de la République bolivarienne du Venezuela, a mis en exergue l’interrelation étroite entre la Révolution cubaine et la Révolution bolivarienne. Faisant référence à l’œuvre révolutionnaire de Fidel, il a affirmé : « Il a largement accompli sa mission sur cette Terre, il est allé au-delà de toutes les attentes. Rarement des vies ont été si complètes et si lumineuses. Il part invaincu, ou plutôt, comme vous dites, il ne part pas, il reste invaincu parmi nous, acquitté, totalement acquitté par la grande Histoire de la Patrie ! ».

À un autre moment de son intervention, visiblement ému, le président vénézuélien a déclaré : « Aujourd’hui c’est notre tour, c’est votre tour, à vous, les femmes, les étudiants, les jeunes, les ouvriers, les professionnels, les paysans, les militaires, tous les patriotes… C’est à nous de hisser haut les drapeaux de l’indépendance de la Grande patrie, de tenir fermement haut levés les drapeaux de la dignité et de la liberté des peuples ».

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