Evo Morales, cinq ans de plus au pouvoir et beaucoup de défis

Par Héctor Miranda

La Paz, 20 jan (PL) Evo Morales assommera dans quelques heures sont troisième mandat et bien au contraire à ce qu'on pense il a d'innombrables d'obstacles à surmonter dans l'avenir.

Lors de la campagne pour les comice effectués en octobre, le mandataire a mis le point sur la possibilité de que le pays devienne le principal producteur d'énergie dans la région à partir de l'exploitation des ressources naturelles dont le pays bénéficie: hydrocarbures, énergie solaire et hydrique, mais surtout, l'énergie thermique.

Dans ce sens, les projets vont vent en pope et peut-être en un laps de temps très bref la Bolivie, outre d’être un grand exportateur de gaz, quinoa, minéraux et produits textiles, commence à vendre de l'électricité dans la région.

D'après Fernando Fuentes, l'ex-vice-ministre de Défense de la consommation, le grand défi de M. le Président est de poursuivre le processus de transformation malgré le recul du prix du pétrole.

Interrogé par Prensa Latina, Fernando Fuentes déclare qu'il faudra maintenir le rythme d'investissement et terminer la construction de grandes industries telles que celle destinée à la production d’ammoniaque et urée, malgré que les ventes de gaz tombent.

Carlos Aparicio, secrétaire de la Chambre de députés jusqu'à il y a quelques heures considère que c'est l’économie le grand défi que le mandataire devra confronter, surtout pour réduire encore plus les grandes différences entre la population.

Par ailleurs, la construction d'un complexe industriel dans le département de Cochabamba est un pas essentiel pour la formation des scientifiques.

Pour continuer avec les changements, Evo Morales compte sur l'appui de la plupart de l'Assemblée législative: 25 sur 36 sénateurs et 88 sur 130 députés, ceci représente plus de deux tiers nécessaires. Cependant des analystes sont certains que le Mouvement Al Socialismo (MAS) aurait des difficultés aux élections régionales à effectuer en mars, surtout dans le grandes villes: La Paz, El Alto et Santa Cruz.

Des problèmes au moment de choisir les candidats sont peut-être la cause fondamentale de la perte de popularité du MAS, quoiqu'il est appuyé par le paysans, la Centrale ouvrière bolivienne et même les entrepreneurs.

Faire régner l'unité au sein du parti et garantir le soutien des mouvements sociales est aussi un obstacle à surmonter par le 65e président dans la convulse histoire du pays sud-américain.

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source:http://frances.prensa-latina.cu/index.php?option=com_content&view=article&id=56001:evo-morales-cinq-ans-de-plus-au-pouvoir-et-beaucoup-de-defis&opcion=pl-ver-noticia&catid=2&Itemid=203