Rafaël Ramirez: « Washington ne comprend pas que le Venezuela ne sera jamais plus son comptoir pétrolier »

13 Octobre 2014
aracas, 10 octobre AVN – Le chancelier du Venezuela, Rafaël Ramirez, a condamné vendredi les déclarations sur le Venezuela faites par le chef du Commando Sud des Etats-Unis, le général John Kelly, et a souligné que le pays ne permettra aucune ingérence dans ses affaires intérieures.


Cette semaine, John Kelly, qui dirige cette instance du Département de la Défense de Washington, a dit que le Gouvernement du président Nicolas Maduro ne représente pas la gestion que, selon lui, méritent les Vénézuéliens.


« Tout pays, tout peuple au XXI° siècle, mérite mieux que ce qu’ils ont », a dit le général.


Consulté à propos de cette déclaration, Ramirez a signalé dans une conférence de presse qu’il s’agit de l’une des déclarations regrettables et malheureuses qui font partie de l’ingérence permanente des Etats-Unis dans les affaires vénézuéliennes et de leur harcèlement constant de la nation sud-américaine.


Il a estimé que la question de fond est que Washington ne comprend pas que le Venezuela « ne sera jamais plus son comptoir pétrolier » comme c’était le cas sous les gouvernements antérieurs à la Révolution Bolivarienne.


Le chancelier a rappelé que c’est le leader socialiste Hugo Chavez qui a mis fin à ce contrôle extérieur sur un pays qui était considéré comme un fournisseur sûr et bon marché d’énergie pour soutenir le développement des Etats-Unis. « Nous sommes décidés à être libres », a noté Ramirez.


Source: http://www.avn.info.ve/contenido/canciller-venezolano-rechaza-intromisión-comando-sur-eeuu-asuntos-internos-del-pa%C3%ADs


Traduction: http://cubasifranceprovence.over-blog.com/2014/10/venezuela-le-ministre-des-relations-exterieures-condamne-l-ingerence-du-commando-sud-des-etats-unis-dans-les-affaires-interieures-du – traduction Françoise Lopez

Un Grand Merci à La Voie Bolivarienne : https://voiebolivarienne.wordpress.com/2014/10/13/rafael-ramirez-washington-ne-comprend-pas-que-le-venezuela-ne-sera-jamais-plus-son-comptoir-petrolier/